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Top 7 des copines méga reloues
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Top 7 des copines méga reloues

On connaît toutes une fille méga reloue qui a toujours un pet de travers. Top 7 de celles qui nous sortent vraiment par les yeux et comment s’en débarrasser.

1 – L’hypocondriaque

Ce qu’elle dit : « Oh là là, j’ai mal à la tête, imagine j’ai une tumeur au cerveau  », « avec le coup de soleil que je me suis pris, je suis bonne pour un cancer de la peau », « dis, t’as pas peur de faire une crise cardiaque dans la nuit et de ne jamais te réveiller toi ? »

Ce qu’on en pense : l’hypocondriaque passe son temps à « imaginer ». C’est bien ça le problème, elle a trop d’imagination. Elle lit trop de bouquins, regarde trop la télé, est trop à l’affût des ragots « Machin est mort de ça, les jours de Truc sont en danger ». Faisons attention car, à force de traîner avec elle, on va choper le syndrome du malade imaginaire.

2 – L’égocentrique

Ce qu’elle dit : « faut trop que je te raconte meuf ! », « il m’est arrivé un truc de ouf ! ».

Ce qu’on en pense : a priori, rien d’anormal puisqu’on dit toutes ça à nos copines. Sauf que nous, on écoute aussi ce que notre pote a à nous raconter. L’égocentrique, elle, ne fait que parler d’elle. À chaque fois qu’elle appelle, à chaque fois qu’on la voit, pas moyen d’en placer une ! On attend un simple petit « et toi ? » qui ne vient pas. On lui dit gentiment qu’on aimerait que nos échanges aillent dans les deux sens. Elle ne comprend pas ? On emploie la méthode forte : on ne décroche plus, elle finira bien par se remettre en question.

3 – La fauchée

Ce qu’elle dit : au moment de payer l’addition, elle nous regarde d’un air tout penaud en disant « ah mince, il me manque 5€… Tu peux m’avancer stoplé ? Je te rembourserai ».

Ce qu’on en pense : On peut toujours attendre car elle n’a aucune intention de nous rembourser. Sous prétexte qu’elle est toujours étudiante et que nous, on bosse, on est censée l’entretenir. Prêter de l’argent à une amie dans le besoin, ça va bien une fois. Mais si le scénario se répète, on la prend entre quatre yeux et on lui dit ses quatre vérités : « tu n’es qu’une sale profiteuse. Je déteste ça. Tu me rembourses ou je te frappe connasse ? »

4 – La dépressive

Ce qu’elle dit : « Je me sens mal en ce moment, rien ne va dans ma vie… », « y a qu’à moi que ça arrive ce genre de trucs », « j’ai vraiment la poisse »…

Ce qu’on en pense : non mais elle va arrêter de se plaindre, oui ? Parce qu’au passage, c’est notre moral à nous qu’elle ruine. C’est bien connu, l’humeur des autres est contagieuse. Voilà pourquoi on ferait mieux de la fuir. Egoïste, nous ? Non. On l’a assez écoutée, assez aidée. Si elle ne veut pas se prendre en main, c’est son problème. Nous, on a assez donné, on lègue notre place avec plaisir. Pourquoi ? Mais parce qu’on n’a aucune envie de se noyer avec elle.

5 – La critiqueuse

Ce qu’elle dit : « T’as vu comme elle a grossi Mathilde ? », « franchement, elle aurait pas du se teindre les cheveux, elle est encore plus moche qu’avant ! ».

Ce qu’on en pense : pourquoi elle critique en permanence ? Parce qu’elle est mal dans sa peau, pardi ! Elle s’imagine qu’en dénigrant les autres, elle se valorise. Or, ça ne fait que montrer à quel point elle manque de confiance en elle. On s’éloigne direct ! Pourquoi ? Parce qu’elle finira par nous accabler de reproches, tôt ou tard. Et qu’on ne tient pas à devenir aussi aigrie qu’elle.

6 – La molle

Ce qu’elle dit : « je suis fatiguée », « faudrait que je fasse ça mais j’ai la flemme », « je suis grosse mais je n’ai pas assez de volonté pour me mettre au régime ».

Ce qu’on en pense : grrrr, ce que c’est fatigant les filles molles comme ça ! On n’a qu’une envie, c’est de les secouer ! Alors on lui rappelle le fameux dicton « quand on veut, on peut » et on la force à bouger son popotin. Elle refuse de faire des efforts ? Eh bien, on la laisse dans sa merde comme on dit ! Parce qu’à terme, elle risque de nous contaminer avec sa flemmardise et qu’on ne tient pas à se ramollir comme elle.

7 – La faux-cul

Ce qu’elle dit : « Oh salut Marine, ça va ? Carrément, faut trop qu’on aille se boire un pot ». Dès qu’on se retrouve seule avec notre amie, elle la taille par-derrière  « non mais j’te jure, elle a vraiment cru que j’allais boire un pot avec elle ? Pauvre meuf ».

Ce qu’on en pense : il faut s’en méfier. Même si elle nous dit « mais toi ce n’est pas pareil, t’es une de mes meilleures amies ». Si elle est faux-cul avec une autre, elle le sera également avec nous. Alors on prend nos jambes à notre cou. Et vite.

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